Une réduction du temps de sommeil est un problème fréquent, puisque 30 % de la population adulte dort régulièrement moins de 6 heures par nuit. Une attention particulière a été récemment accordée aux conséquences de la réduction de sommeil, notamment au niveau métabolique et hormonal. Il existe désormais une importante littérature démontrant qu’une privation de sommeil (6 nuits consécutives de 4h de sommeil) perturbe significativement le test de tolérance au glucose et la réponse à l’insuline (Spiegel K & al, Lancet, 99). Plus récemment,
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