Il existe très peu de données concernant la prise en charge des traumatismes de guerre chez les réfugiés souffrant de dépression ou d’état de stress post traumatique (ESPT). La plupart des études ont en effet porté sur des traumatismes tels que les accidents de la voie publique ou les agressions sexuelles, ou en cas de traumatisme de guerre, sur des populations militaires.
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