Cette lettre, publiée dans le prestigieux journal Nature, a été réalisée par un consortium international de pharmacogénomique du trouble bipolaire : « The Pharmacogenomics of Bipolar Disorder Study » (1).
Le TB fait partie, selon l’organisation mondiale de la santé, parmi les maladies avec les plus fortes morbi-mortalités (2,3,4). Les mécanismes physiopathologiques de la maladie sont mal connus. Néanmoins, il a été identifié, par un certains nombre d’études neuropathologiques chez l’homme et chez des modèles animaux, un ensemble d’altérations cérébrales (5) telles qu’une diminution du nombre de cellules gliales dans le cortex préfrontral (6), une
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